L'Oratorio de Noël de Michel Tremblay
Présenté par Théâtre L'On Donne (de London, Ontario)
THÉÂTRE GLENDON 2275 BAYVIEW AVENUE
le 19 MARS 19h00
ADULTES 20$ ÉTUDIANT.E.S et AINÉ.E.S 10$
Pour acheter en ligne: http://ift.tt/1XpY2Vs
La dernière pièce en date de Michel Tremblay est l’une des plus exigeantes sur le plan de l’écoute et du rythme, car elle demande une virtuosité chorale, symphonique même, une préparation musicale digne d'un oratorio.
Créée en 2012 au théâtre Jean Duceppe à Montréal, la pièce n’a jamais été présentée à l'extérieur du Québec. Il s'agit donc d'une première ontarienne.
La pièce est tout particulièrement d’actualité puisqu'elle traite de la maladie d’Alzheimer du point de vue du malade. On y aborde le suicide et l’importante question de la qualité de vie pour les patients atteints de maladies dégénératives. Au moment où les parlements ontarien et canadien s’apprêtent à statuer sur l’aide à mourir, l’Oratorio de Noël propose une réflexion sans complaisance des plus saines.
La pièce réunit 10 acteurs membres du département d’études française de l’Université Western Ontario: 2 étudiantes de premier cycle (Kristen Nadal, Shalana Bryans); 7 étudiants des cycles supérieurs (Patrick Ager, Massimiliano Aravecchia, Mansour Bouaziz, Heather Kirk, Emilie Pilon-David, Marie-Simone Raad et Jessy Neau); et un professeur de linguistique, (David Heap, dans le rôle titre).
"J'ai eu à incarner quantité de rôles au théâtre, mais L’Oratorio de Noël de Michel Tremblay me touche autrement," commente David Heap, interprète de Noël. "C'est la première fois que je me surprends à pleurer à chaude larmes simplement en me remémorant mon texte, et cela, à plus d’une reprise."
La technique est assurée par Josée Dufour et Katherine Scott; Paul Venesoen, créateur de l’affiche et de l’univers musical de la pièce.
La pièce est dirigée par nul autre que Mario Longtin, qui en sera à sa dixième production à la barre de la troupe L’On Donne.
"L’Oratorio de Noël affiche une parenté d’écriture indéniable avec les Belles-Soeurs, bien sûr, mais c’est avec Le Vrai Monde que la comparaison est la plus saisissante," continue Mario Longtin, metteur en scène. "Dans le Vrai monde, la réalité et la fiction s’affronte dans un combat à finir. Dans l’Oratorio de Noël les souvenirs démultipliés, épars, laissent place à la dérive, à l’invention débridée: à la démence."
Résumé de la pièce:
Noël, neurochirurgien de profession, est atteint d’une maladie dégénérative du cerveau. Dans sa chambre d’hôpital, il reçoit son ex-femme Jacqueline, son fils Jean-Sébastien et sa fille Isabelle. Noël s’embrouille dans sa démence. Il y a maintenant trois versions de chacun des membres de sa famille sur scène, ordonnés selon leur âge : son ex-femme à 20 ans, 40 et 59 ans ; son fils à 15 ans, 25 et 40, et sa fille à 17 ans, 25 et 38 ans. Noël tente de démêler la fiction démente de ce qui est réellement en train de se produire. La pièce prend des allures de tribunal et la famille de Noël se transforme en un chœur de récriminations incessantes qu’il ne parvient pas à apaiser. Le silence n’a jamais été si fracassant que lorsque Noël se retrouve seul devant l’inévitable : l’oubli de ce qu’il a été.
Écho dans les médias: un article du journal L'Action: http://ift.tt/1ppqEnn ... action.pdf
Événement Facebook à partager: http://ift.tt/1ppqEnp
via Torontois http://ift.tt/1XpY2VA March 14, 2016 at 05:05AM
Présenté par Théâtre L'On Donne (de London, Ontario)
THÉÂTRE GLENDON 2275 BAYVIEW AVENUE
le 19 MARS 19h00
ADULTES 20$ ÉTUDIANT.E.S et AINÉ.E.S 10$
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La dernière pièce en date de Michel Tremblay est l’une des plus exigeantes sur le plan de l’écoute et du rythme, car elle demande une virtuosité chorale, symphonique même, une préparation musicale digne d'un oratorio.
Créée en 2012 au théâtre Jean Duceppe à Montréal, la pièce n’a jamais été présentée à l'extérieur du Québec. Il s'agit donc d'une première ontarienne.
La pièce est tout particulièrement d’actualité puisqu'elle traite de la maladie d’Alzheimer du point de vue du malade. On y aborde le suicide et l’importante question de la qualité de vie pour les patients atteints de maladies dégénératives. Au moment où les parlements ontarien et canadien s’apprêtent à statuer sur l’aide à mourir, l’Oratorio de Noël propose une réflexion sans complaisance des plus saines.
La pièce réunit 10 acteurs membres du département d’études française de l’Université Western Ontario: 2 étudiantes de premier cycle (Kristen Nadal, Shalana Bryans); 7 étudiants des cycles supérieurs (Patrick Ager, Massimiliano Aravecchia, Mansour Bouaziz, Heather Kirk, Emilie Pilon-David, Marie-Simone Raad et Jessy Neau); et un professeur de linguistique, (David Heap, dans le rôle titre).
"J'ai eu à incarner quantité de rôles au théâtre, mais L’Oratorio de Noël de Michel Tremblay me touche autrement," commente David Heap, interprète de Noël. "C'est la première fois que je me surprends à pleurer à chaude larmes simplement en me remémorant mon texte, et cela, à plus d’une reprise."
La technique est assurée par Josée Dufour et Katherine Scott; Paul Venesoen, créateur de l’affiche et de l’univers musical de la pièce.
La pièce est dirigée par nul autre que Mario Longtin, qui en sera à sa dixième production à la barre de la troupe L’On Donne.
"L’Oratorio de Noël affiche une parenté d’écriture indéniable avec les Belles-Soeurs, bien sûr, mais c’est avec Le Vrai Monde que la comparaison est la plus saisissante," continue Mario Longtin, metteur en scène. "Dans le Vrai monde, la réalité et la fiction s’affronte dans un combat à finir. Dans l’Oratorio de Noël les souvenirs démultipliés, épars, laissent place à la dérive, à l’invention débridée: à la démence."
Résumé de la pièce:
Noël, neurochirurgien de profession, est atteint d’une maladie dégénérative du cerveau. Dans sa chambre d’hôpital, il reçoit son ex-femme Jacqueline, son fils Jean-Sébastien et sa fille Isabelle. Noël s’embrouille dans sa démence. Il y a maintenant trois versions de chacun des membres de sa famille sur scène, ordonnés selon leur âge : son ex-femme à 20 ans, 40 et 59 ans ; son fils à 15 ans, 25 et 40, et sa fille à 17 ans, 25 et 38 ans. Noël tente de démêler la fiction démente de ce qui est réellement en train de se produire. La pièce prend des allures de tribunal et la famille de Noël se transforme en un chœur de récriminations incessantes qu’il ne parvient pas à apaiser. Le silence n’a jamais été si fracassant que lorsque Noël se retrouve seul devant l’inévitable : l’oubli de ce qu’il a été.
Écho dans les médias: un article du journal L'Action: http://ift.tt/1ppqEnn ... action.pdf
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Statistiques: Publié par DavidHeap - Lun, 14 Mar 2016 09:05 - Réponses 0 - Consultations 1
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